Par Léa Oudoire et Roméo De Barba
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Diverty Box de Valenciennes : on a testé, on n’a pas brillé, mais on s’est bien marré
Quatre mois après l’ouverture à Valenciennes, on s’est dit qu’il était temps d’aller voir comment le concept Diverty Box s’était développé. Quiz, blind test, fléchettes, karaoké, nous sommes allés tester pour vous.
Avec une petite équipe de quatre vaillants volontaires, direction l’enseigne Diverty Box au passage de l’Arsenal. Nous sommes accueillis par Timothée, adjoint de l’établissement, qui nous présente les différentes activités.
Le robot Quizy anime la partie
On s’installe d’abord dans la salle de jeux. Devant nous, six pupitres avec des buzzers de couleur, face à un écran géant. Une fois tout le monde installé, l’écran s’allume. Un robot apparaît en dansant : « Bonjour à tous, je suis Quizy, votre animateur drôle et sympa. » Le jeu se passe en quatre manches de douze questions. Les règles sont posées, il n’est plus question de perdre. Top départ de la première manche. « Grands classiques d’ABBA », « Septième art », « Cris d’animaux », parmi tous les thèmes disponibles, c’est finalement celui des « Jeux Olympiques » qui est choisi par Pierre-Louis. C’est l’indignation générale. Ce qui devait arriver, arriva. Quand il s’agit de reconnaître les bonnes couleurs des anneaux du drapeau olympique, personne ne réussit. Personne, sauf Pierre-Louis…
Avec une petite équipe de quatre vaillants volontaires, direction l’enseigne Diverty Box au passage de l’Arsenal. Nous sommes accueillis par Timothée, adjoint de l’établissement, qui nous présente les différentes activités.
Remontada au pifomètre
Au fil de la partie, les écarts de points se creusent. Roméo prend la tête, heureux de devancer ses vieux collègues en culture générale. La thématique des « Classiques de la BD » vient stopper sa course. Plus question de prendre son temps, le « Chrono sprint » est lancé. Léa mise tout sur la rapidité, quitte à tricher sur ses collègues, et ça paye, elle caracole en tête pendant plusieurs tours.
C’est maintenant la manche finale, le « Quitte ou double ». Qui sera le plus audacieux ? Les joueurs parient leurs points, au risque de tout perdre. Dernière chance pour Cécile et Pierre-Louis de se hisser dans le haut du classement. Géographie, cinéma, jeux vidéo, ou encore vocabulaire, les thèmes s’enchaînent et les points dégringolent. Sur le fil, c’est finalement Cécile, euphorique, qui parvient à chiper la première place.
Moins chanceux aux fléchettes
Direction ensuite le premier étage. Timothée nous présente les différents jeux de fléchettes : Showtime, Killer, le classique 501 et bien d’autres. C’est finalement Lives, son jeu préféré, qui est sélectionné. « Ici, il s’agit de ne pas perdre de vie. Le premier joueur impose le score à battre », explique l’adjoint. Cibles anglaises en liège, fléchettes de compétition, toutes les conditions sont réunies pour briller. Roméo se révèle tireur d’élite. Du côté des autres joueurs, triste tableau. Personne ne brille, loin de là. Les railleries fusent : « Alors Pierre-Louis, c’était toi le sportif de la rédac ! » Tous enchaînent les sous-performances. À l’image de Cécile, éliminée au troisième tour. Pourtant : elle reste philosophe : « On ne peut pas avoir le cerveau et les bras. »
Bilan de l’expérience, on n’a pas brillé mais on s’est bien marré. Malheureusement, pas le temps de tester la dernière activité : le karaoké. On vous laisse le soin de tester pour nous.